
Parfois elles lâchent le pilon dans sa course montante
Puis frappent dans les mains pour enrichir le rythme
Toum toum clac, toum clac clac,
Toum toum clac, toum clac clac …
A l’improviste, le pilon heurte le bord du mortier
Un son de plus, une saccade, et les voix ajoutées
C’est la musique originelle, venue du fonds des âges
Celle qui rassemble, qui donne du coeur à l’ouvrage